Ce premier pur débat l’année 2018 a commencé par une grasse matinée. Même si la veille au soir nous nous étions passé couché spécialement tard, nous avions d’un sommeil à rattraper.

Ne sachant que faire de notre journée, car les activés de Esquel se trouvent à au moins 50 km, nous décidions de nous rendre à Futaleufú en stop.

De là nous nous séparons en 2 groupes : Anojh-moi Hugo-Cyprien.

Hugo et Cyprien ont pris la première voiture, à partir de là nous décidions d’e nous retrouver à Futaleufu directement.

Avec Anojh nous nous rendons rapidement compte que le stop n’est pas si facile... Après une heure d’attente le long d’une route très passante, nos sauveurs sont une famille. Cette famille rentrant àTrevelin (ville d’argentine entre esquel et Futaleufu), accepte très gentillement de nous déposer là bas. Après 50km, des discussions tournant autour du foot et des activités Futaleufu, nous arrivons sur le lieu de notre escale. Nous prenons un petit goûté dans une boulangerie et nous reprenons notre route. Le stop est encore plus compliqué que prévu, le trafic est très faible et personne ne s’arrête. Après 3h d’attente, notre sauveur est cette fois un bus. Pensant être obligé de dormir à trevelin, nous n’etions Pas mécontent de cette apparition !

Arrivé à la frontière chilienne nous apprenons une bonne nouvelle. Le bus ne passe pas côté chilien être il y a 10km pour rejoindre Futaleufu sachant qu’il était déjà 20h... Néanmoins le paysage est magnifique du coup nous nous disions que c’est pas si désagréable que ça. Finalement nous serons pris à l´arrière d’un pickup, la vie est belle.

Arrivant dans la ville, nous n’avions qu’une question en tête : est ce que les 2 autres guignols étaient bien arrivés aussi. Au point de rdv qui n’etait autre qu’un camping, l’émotion nous pris à l’an gorge voyant notre asperge au crâne rasé et notre baroudeur barbu !

Bonne nouvelle, en notre absence ils avaient monté la tante. Juste le temps de poser les affaires et nous partions manger en ville. Après avoir demandé à un jeune couple où nous pouvions manger, ils nous ont dit qu’il avait un restaurant et qu’il voulait bien le reouvrir pour nous faire des sandwichs. Finalement cette journée s’en termine parfaitement bien !